DÉCUBITUS
 
 
Décubitus, bien sûr, un mot initial pour le travail d'un corps.
 
Décubitus génère cette tension paradoxale entre les deux extrémités de mon arc : celle d'un début salutaire et celle d'une fin : le Christ mort.
 
Voici donc ce corps perçu en élévation, ce corps dont la vision désormais - une contre-plongée absolue - découvre et se perd dans un paysage sans ombres portées, un ciel scialytique.
 
novembre 2010
Remerciements
 
à François COLLET, chirurgien, pour les nombreux éclaircissements qu'il m'a patiemment apportés.
 
à Mourad, mon modèle, sans qui Décubitus - ainsi que les Adamiques - ne seraient pas tout à fait ce qu'il sont.
 
 
Liens et références
 
Philippe de CHAMPAIGNE, Le Christ mort couché sur son linceul, circa 1654
huile sur toile, 68 x 197 cm
Paris, musée du Louvre
 
 
Décubitus, 2010
Acrylique sur toile
81 x 60 cm.
Décubitus, 2010
Acrylique sur toile
81 x 54 cm.
Décubitus, 2010
Acrylique sur toile
81 x 65 cm.
Décubitus, 2010
Acrylique sur toile
81 x 54 cm.
Collection particulière
Décubitus, 2010
Acrylique sur papier
65 x 50 cm.
Décubitus, 2010
Acrylique sur toile
116 x 81 cm.